Le rooftop du BHV Marais
Que serait Paris sans ses grands magasins ? Ce serait toujours Paris, mais avec un « truc » en moins. Ils manqueraient ! Les grands magasins, comme le Printemps, les Galeries Lafayette, le BHV Marais ou le Bon Marché, sont des univers à part entière. Pour se démarquer les uns des autres, ils redoublent d’initiatives : événements et célébrations variés, nouvelle identité, happenings… En attendant la transformation prochaine de la Samaritaine. Entre bureaux, hôtel de luxe, crèche, elle abritera malgré tout des commerces. Ouf, mais quand-même, c'est peau de chagrin.
Alors que le Printemps fête ses 150 ans, the place to be, est sous ses coupoles boulevard Haussmann. Dans ce temple du shopping, la restauration est mise en avant. Virginie Basselot, meilleure ouvrière de France, la seconde femme seulement à l'être depuis 1924, dirige les cuisines du Saint James. Elle va également officier au Printemps. Pour la brasserie qui se tient sous la coupole, elle a imaginé une carte d’exception. Fauchon ouvre un espace dégustation avec des pâtisseries en exclusivité. Quand Marks et Spencer s’invite dans le grand magasin, les vitrines de Noël sont imaginées par Philippe Decouflé. On pressent que ça va décoiffer.
Les Galeries Lafayette elles, réfléchissent à une nouvelle identité, voir à un lifting. Rénovation qui, cerise sur le gâteau, pourrait réhabiliter l'ancien escalier monumental, passé aux oubliettes et remisé on ne sait où. Quelque soit le résultat des courses, le concept du « nouveau chic » est incontournable. Dans la foulée, les 400 mètres carrés de son espace dédié à la Beauté ont été totalement réinventés. Le 20 novembre prochain, Alain Ducasse, Jean-Paul Hévin, Aoki et Pierre Hermé seront les stars de la journée du chocolat.
Quand on parle du « nouveau chic », on pense forcément au Bon Marché, épicentre du luxe rive gauche. Le grand magasin, propriété du groupe LVMH, comme feu la Samaritaine, joue la carte de la sophistication, d’une mode ultra-pointue avec des collections en exclusivité. La mutation du magasin a commencé il y a quelques années, et continue. Un espace XXL dédié aux chaussures femmes a vu le jour, la surface consacrée aux hommes a décuplé, la Grande Épicerie a subi une réorganisation complète. Le design y entre également par la grande porte avec une exposition consacrée à Pierre Paulin, que l’on peut voir jusqu’à la fin du mois de novembre. Dernière nouveauté en date, la lumière naturelle pénètre désormais par les verrières, ce qui est chose rare dans des grands magasins de cette taille.
Le BHV Marais, ex Bazar de l'hôtel de Ville, continue dans sa veine branchée et imaginative après une mutation réussie. Mode, déco, food et bien sûr bricolage à la sauce bobo se déclinent dans le magasin. On peut suivre des cours de bricolage et également des cours de cuisine. D’ailleurs, dans la cour bleue, des « kiosques gastro » vont voir le jour, comme BGR pour « Burger Gourmand et Racé », un espace tea time sous une « cahute » aussi. Logique quand on sait que le magasin londonien Liberty, s’installera au rez-de-chaussée du BHV. Et le clou, c'est bien sûr, l'inauguration d’un rooftoop, sobrement appelé « Perchoir d’hiver » avec spécialités norvégiennes, plaids et pare-vent... Bien sûr, la liste de ces réjouissances n’est pas exhaustive. On regrette juste de ne pas pouvoir en faire autant pour la Samaritaine, sacrifiée sur l’autel de LVMH.
Alors que le Printemps fête ses 150 ans, the place to be, est sous ses coupoles boulevard Haussmann. Dans ce temple du shopping, la restauration est mise en avant. Virginie Basselot, meilleure ouvrière de France, la seconde femme seulement à l'être depuis 1924, dirige les cuisines du Saint James. Elle va également officier au Printemps. Pour la brasserie qui se tient sous la coupole, elle a imaginé une carte d’exception. Fauchon ouvre un espace dégustation avec des pâtisseries en exclusivité. Quand Marks et Spencer s’invite dans le grand magasin, les vitrines de Noël sont imaginées par Philippe Decouflé. On pressent que ça va décoiffer.
Les Galeries Lafayette elles, réfléchissent à une nouvelle identité, voir à un lifting. Rénovation qui, cerise sur le gâteau, pourrait réhabiliter l'ancien escalier monumental, passé aux oubliettes et remisé on ne sait où. Quelque soit le résultat des courses, le concept du « nouveau chic » est incontournable. Dans la foulée, les 400 mètres carrés de son espace dédié à la Beauté ont été totalement réinventés. Le 20 novembre prochain, Alain Ducasse, Jean-Paul Hévin, Aoki et Pierre Hermé seront les stars de la journée du chocolat.
Quand on parle du « nouveau chic », on pense forcément au Bon Marché, épicentre du luxe rive gauche. Le grand magasin, propriété du groupe LVMH, comme feu la Samaritaine, joue la carte de la sophistication, d’une mode ultra-pointue avec des collections en exclusivité. La mutation du magasin a commencé il y a quelques années, et continue. Un espace XXL dédié aux chaussures femmes a vu le jour, la surface consacrée aux hommes a décuplé, la Grande Épicerie a subi une réorganisation complète. Le design y entre également par la grande porte avec une exposition consacrée à Pierre Paulin, que l’on peut voir jusqu’à la fin du mois de novembre. Dernière nouveauté en date, la lumière naturelle pénètre désormais par les verrières, ce qui est chose rare dans des grands magasins de cette taille.
Le BHV Marais, ex Bazar de l'hôtel de Ville, continue dans sa veine branchée et imaginative après une mutation réussie. Mode, déco, food et bien sûr bricolage à la sauce bobo se déclinent dans le magasin. On peut suivre des cours de bricolage et également des cours de cuisine. D’ailleurs, dans la cour bleue, des « kiosques gastro » vont voir le jour, comme BGR pour « Burger Gourmand et Racé », un espace tea time sous une « cahute » aussi. Logique quand on sait que le magasin londonien Liberty, s’installera au rez-de-chaussée du BHV. Et le clou, c'est bien sûr, l'inauguration d’un rooftoop, sobrement appelé « Perchoir d’hiver » avec spécialités norvégiennes, plaids et pare-vent... Bien sûr, la liste de ces réjouissances n’est pas exhaustive. On regrette juste de ne pas pouvoir en faire autant pour la Samaritaine, sacrifiée sur l’autel de LVMH.
