Il n’est pas question ici de Desperate Housewives. Au contraire ! Aux États-Unis, certaines épouses d’hommes aisés, arrêtent de travailler, essentiellement pour coacher leur progéniture. Plus étonnant, elles peuvent toucher des primes annuelles...
On connaît le syndrome du « burn-out », l’implosion d’un salarié causée par le surmenage. On connaît moins le « bore-out », l’ennui au travail. Il peut pourtant entraîner les mêmes pathologies.
On sait que les filles ont du mal à se faire une place dans les écosystèmes numériques. Pour tenter d’y remédier, il faut saluer l’initiative de Microsoft cette semaine : Digigirlz, ou 350 collégiennes issues de ZEP pour tenter de « casser les codes. »
Dans la high list des personnalités les plus influentes de Time Magazine, figure Elizabeth Holmes, une jeune américaine de 31 ans, serial entrepreneuse.
Du salaire à la place en crèche, en passant par l’intéressement ou la part variable, le package de rémunération peut couvrir des domaines très variés. Que faut-il savoir sur cet élément central des politiques de ressources humaines des entreprises ?
On a en a déjà parlé : pour les femmes, les start-up ne seraient pas des sinécures, mais un univers misogyne et impitoyable. Le dossier du magazine Newsweek relance le débat.
Absentéisme inversé, il y a un phénomène au boulot, le présentéisme, ou comment se mettre une grosse pression pour être toujours présente, fraîche et dispo.
Sexisme inversé ? D’après le journal Les Échos, les femmes PDG attireraient davantage les investisseurs « activitses » dont les motivations ne sont pas forcément les bonnes.
Les idées préconçues et surtout machistes jalonnent toujours le parcours des jeunes filles dans leurs études scientifiques. Résultat, elles s'éloignent de ces disciplines.
La Silicon Valley serait un repaire de machos. Dans l’industrie des hautes technologies et de l’Internet, les polémiques et les accusations de machisme se succèdent les unes après les autres. Silicon Valley, ton univers impitoyable ?