C’est un marronnier. Pourtant, on a beau en parler à chaque changement de saison, on ne voit pas des armées de salopettes débarquer dans la rue. Peut-être au printemps prochain ?

Aujourd’hui, on est à nouveau allé voir du côté de Soon Soon Soon, le site défricheur de tendances. Au programme, un concept store-appartement : tout ce qui s’y trouve est à vendre.

Qui se ressemble s’assemble ? Aujourd’hui, si le dicton reste valable, il semble parfois éculé. Mais pas chez les CSP+.

Depuis longtemps, on connaît les TOC, les troubles obsessionnels compulsifs. À l’ère digitale, on voit apparaître de nouveaux troubles, les TOF. Pour la faire courte, « les troubles obsessionnels sur Facebook ».

C’est tout ce que l’on déteste. Ici, on n’est pas bling pour un sou. Mais en clin d’œil, on ne résiste pas à faire le tour de ce que propose la société strasbourgeoise Prestige Mobile, en terme de smartphones pas discrets.

On en a déjà parlé. On n’aime pas le gâchis alimentaire, mais on constate aussi que les initiatives françaises pour créer des «doggy bags», ont du mal à s’imposer. Espérons que la start-up TakeAway va y arriver.

Dans les campagnes de pub, les quadras et plus, mais stars quand-même occupent le haut de l’affiche.

Les collants, accessoires phares de l’hiver, si on veut sortir en jupe sans se geler, semblent être persona non grata. Pourquoi tant de haine ?

Quand Saint James, la marque emblématique du jersey marinière croise la start-up Le Slip Français, cela donne lieu à des collaborations
Made in France bien dans l’air du temps.

La faute aux nouvelles technologies ? Avec les smartphones, toutes les excuses sont bonnes pour aller regarder ce que contient le téléphone de sa moitié. Mais pour vivre heureux, mieux vaut s’en garder.

Un peu avant Noël, les quelques 31 000 agents de la SNCF ont été rhabillés par la société bretonne Armor Lux.

Au rayon de l'imprimé panthère, il y a les pour et les contre. Les pour, c'est moi. Loin d'être tache, il va réveiller l'hiver et enflammer l'été.

Finauds les « startupers » de la French Tech. Ils ont imaginé des produits ou des services ludiques, innovants et interactifs. Sélection « green ».

Le temps d’une collection capsule chez Petit Bateau, Cédric Charlier bouscule la marinière.

À coups de messages et de slogans, les vêtements affichent opinions et caractères…

Avec la crise, et dans le registre de la consommation collaborative, la location de vêtements et d’accessoires se développe de plus en plus, notamment pour les pièces de luxe.

À coup de rings, de gants de boxe et de mannequins guerrières, la mode de cet hiver s’affiche « Fight Club » dans les campagnes de pub.

Qu’elles soient Montessori, Freinet ou Steiner, les écoles alternatives plaisent de plus en plus. Une façon de contourner l’école de la République, mais faut-il encore, en avoir les moyens…

Ce qui pourrait passer pour un antagonisme : l’idée de luxe, donc de rareté, est l’objet, à l’ère du numérique, d’une diffusion à grande échelle. Le luxe tire parfaitement son épingle du jeu de cette stratégie digitale.