​Ivanka, la fille de Donald Trump, l’incrustée du G20

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​Ivanka, la fille de Donald Trump, l’incrustée du G20
​Ivanka, la fille de Donald Trump, l’incrustée du G20 | Speedy life

Officiellement conseillère de son père le président des Etats-Unis, Ivanka Trump a beaucoup fait parler d’elle à l’occasion de la réunion du G20 à Osaka au Japon. Une séquence vidéo où elle essaye de discuter avec les chefs d’Etat français, canadien, britannique et la directrice du FMI a notamment fait jazzer.

Ivanka Trump est devenue une blague récurrente sur les réseaux sociaux. Depuis que des images publiées par l’Elysée la montre entrain d’essayer – sans succès – de participer à des conversations avec plusieurs chef d’Etat, la fille de Donald Trump est moquée. « Sur ces images mises en ligne un temps sur le site de l’Élysée, on voit Ivanka Trump essayer d’intervenir lors d’un échange informel entre la Première ministre britannique Theresa May, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le président français Emmanuel Macron et la patronne du FMI Christine Lagarde, qui semblent royalement ignorer la « First Daughter » » résume RTL .

Ivanka Trump a fait le déplacement au sommet du G20 à Osaka au Japon, en tant que membre officielle de la délégation du président américain. Officiellement conseillère de son père, sa présence au G20 n’est pas un sujet en soi. Ce qui est plus étonnant et révélateur du fonctionnement de la Maison Blanche c’est de la voir s’adresser aux chefs d’Etat sans aucun respect des règles élémentaires du protocole diplomatique.

Evidemment, son échec et le dénigrement des personnalités présentes a amusé d’autant que les compétences de Ivanka Trump et de son mari Jared Kushner sont régulièrement interrogées. « Le président américain avait même déclaré en avril avoir envisagé de la nommer à la tête de la Banque mondiale ou comme ambassadrice des États-Unis aux Nations unies. « C’est une vraie diplomate », « elle est très bonne avec les chiffres », avait-il avancé dans un entretien au magazine The Atlantic, précisant y avoir renoncé afin de ne pas être accusé de « népotisme » » rappelle RTL.

On n’ose pas imaginer les réactions que cette décision aurait déclenchée. Quelques heures après la publication de la vidéo par l’Elysée, le mot clé Twitter « Ivanka n’est pas la bienvenue » se répandait comme trainée de poudre.

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