Entre les deux parties une fin en cliffanger. Sans prendre de grands risques les paris sont ouverts pour la dernière saisons de La Casa de Papel. Dans cette franchise espagnole récupérée par Netflix, tout est bon pour l’exploiter jusqu’au bout. Si la première saison avait des défauts, elle avait au moins un souffle et un intérêt certain ; Mais à l’image de Prison Break, c’est la volonté de faire sortir le récit de son décors emblématique qui fait le plus de mal à la série. Et ce, malgré la volonté des scénaristes de nous tenir en haleine. « 100 heures qui paraissent 100 ans. Alors que le réservoir a été découvert, et que le colonel Tamayo prépare l’armée à entrer dans la banque d’Espagne, le gang vit des moments très incertains. Ils sont dos au mur et la fin se rapproche. Vont-ils unir leurs forces pour lutter face à l’adversité … pour une ultime fois ? Après tout, ils sont La Résistance » raconte Le Journal du Geek .
Malgré les déceptions de la suite, l’intérêt sera toujours là pour ce qui est annoncé comme le dénouement. Outre la pause agaçante de deux mois sans autre justification que de vouloir tenir le public en haleine, on n’est pas étonné d’apprendre que le groupe de VOD n’a pas dit son dernier mot dans l’exploitation des droits acquis. « Ce succès a inspiré Netflix qui va développer un remake coréen pour sa plateforme. L’intrigue devrait sensiblement être la même, à la différence qu’il ne s’agira sans doute pas de la Maison royale de la monnaie espagnole