Manuel Valls et Nicolas Sarkozy au Stade de France
À dix jours du coup d’envoi de la Coupe du monde de football, le 12 juin prochain au Brésil, la folie du foot s’est déjà emparée de la planète. Et aussi, de la planète VIP. Car le foot, c’est bien connu, fédère, et fédère bien au-delà des classes sociales ou socio-professionnelles. Résultat, comme à Roland Garros, des personnalités de premier plan, occupent les gradins. On y voit des hommes ou des femmes politiques, en campagne ou non, des patrons du CAC 40, à l’origine, davantage fans de rugby, des acteurs, des sportifs bien sûr, mais aussi des écrivains, des intellectuels, des philosophes, des journalistes mais pas que sportifs ! Les stades de foot, il ne faut pas se leurrer, sont aussi des endroits où se trament les réseaux.
Cet attrait est certainement une des conséquences de la prolifération des chaînes de télévision dédiées, et de l'ampleur de la diffusion de tels évènements sportifs. Au-delà, le football représente un genre de grand messe collective et bon enfant, à la portée et à la ferveur planétaire. Il fait donc bon communier et participer à cet élan récréatif. On tombe le masque, les coeurs battent à l'unisson. C'est bien connu, le foot rassemble. Plus largement, c’est peut-être un des rares lieux où les membres du show-bizz se mélangent naturellement avec les grands patrons, les hommes d’affaires, les politiques quelque soit leurs orientations, des membres du gouvernement, comme le premier ministre, Manuel Valls, ou l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy. Pourtant, pour eux, être dans les tribunes peut représenter un bain de foule risqué, parce que les spectateurs lambda ont toujours le pouvoir de siffler !
Si les tribunes du stade, sont un peu le pendant viril des défilés de mode, les femmes s’y font également voir. En premier lieu, bien sûr, les femmes de footballeurs, regroupées sous le label WAG, wives and girlfriends, l'Anglaise Victoria Beckham en étant l’incarnation ultime. Loin devant Shakira, la chanteuse colombienne qui est mariée au joueur espagnol Gerard Piqué. Avant elles, il y a eu d’autres WAG, désormais passées aux oubliettes des stades pour cause de ruptures : Adriana Karembeu, Noémie Lenoir, l’ex-compagne de Claude Makelele… On l'a compris, dans les tribunes, un mannequin peut en cacher un autre.
Dans le top du top du panier, richissime et élitiste, on peut citer Dasha Zhukova, l’épouse de l’oligarque russe Roman Abramovich, le propriétaire du mythique club de football de Chelsea, ou l’actrice Salma Hayek, la femme de François Pinault, à qui appartient le stade Rennais. Peut-être que tout est bon pour se montrer. Mais on se montre à de grands matchs, pas forcément en Ligue 2, quand Metz joue contre Lens... À l'heure de l'égo roi et du penchant pour l'exhibition planétaire, le rayonnement télévisuel du football est tel, que rater une telle occasion de se faire voir, serait vraiment une faute passible... d'un carton rouge.
Cet attrait est certainement une des conséquences de la prolifération des chaînes de télévision dédiées, et de l'ampleur de la diffusion de tels évènements sportifs. Au-delà, le football représente un genre de grand messe collective et bon enfant, à la portée et à la ferveur planétaire. Il fait donc bon communier et participer à cet élan récréatif. On tombe le masque, les coeurs battent à l'unisson. C'est bien connu, le foot rassemble. Plus largement, c’est peut-être un des rares lieux où les membres du show-bizz se mélangent naturellement avec les grands patrons, les hommes d’affaires, les politiques quelque soit leurs orientations, des membres du gouvernement, comme le premier ministre, Manuel Valls, ou l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy. Pourtant, pour eux, être dans les tribunes peut représenter un bain de foule risqué, parce que les spectateurs lambda ont toujours le pouvoir de siffler !
Si les tribunes du stade, sont un peu le pendant viril des défilés de mode, les femmes s’y font également voir. En premier lieu, bien sûr, les femmes de footballeurs, regroupées sous le label WAG, wives and girlfriends, l'Anglaise Victoria Beckham en étant l’incarnation ultime. Loin devant Shakira, la chanteuse colombienne qui est mariée au joueur espagnol Gerard Piqué. Avant elles, il y a eu d’autres WAG, désormais passées aux oubliettes des stades pour cause de ruptures : Adriana Karembeu, Noémie Lenoir, l’ex-compagne de Claude Makelele… On l'a compris, dans les tribunes, un mannequin peut en cacher un autre.
Dans le top du top du panier, richissime et élitiste, on peut citer Dasha Zhukova, l’épouse de l’oligarque russe Roman Abramovich, le propriétaire du mythique club de football de Chelsea, ou l’actrice Salma Hayek, la femme de François Pinault, à qui appartient le stade Rennais. Peut-être que tout est bon pour se montrer. Mais on se montre à de grands matchs, pas forcément en Ligue 2, quand Metz joue contre Lens... À l'heure de l'égo roi et du penchant pour l'exhibition planétaire, le rayonnement télévisuel du football est tel, que rater une telle occasion de se faire voir, serait vraiment une faute passible... d'un carton rouge.
