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À la surprise générale, c’est une entreprise française qui arrive en tête des entreprises de plus de 500 salariés figurant au classement Great Place to Work de cette année. Il s’agit d’une première dont Davidson Consulting, l’entreprise de conseil en management qui s’est hissée à la tête du podium, peut se montrer fier. Car en plus de créer un précédent français dans cette compétition d’un genre particulier, ce résultat sanctionne l’effort prolongé de cette entreprise pour améliorer la qualité de vie de ses salariés au travail.
Dans son Davidson Code, Davidson Consulting présente en toutes lettres sa philosophie d’entreprise : équilibre entre vie privée et vie professionnelle, évènements de team building programmés sur une base régulière, équipes de travail resserrées, mise à disposition de crèches d’entreprise. En contrepartie de ces avantages qui fidélisent les collaborateurs, l’entreprise attend d’eux l’excellence. Une exigence qui ne rebute pas. Bien au contraire, puisque le turn-over de l’entreprise se situe au niveau plancher de 5 % et que la plupart des embauches du cabinet sont réalisées par cooptation.
Bien d’autres entreprises françaises sont parvenues à obtenir une place honorable dans le classement. Elles sont 35 en en tout sur une soixantaine. Parmi elles, Extia, Leroy Merlin, Decathlon, Iliad se sont hissées dans le top 20 des entreprises de plus de 500 salariés. De côté des entreprises de moins de 500 salariés figurent par ailleurs de nombreuses sociétés françaises récemment mises sur pied à l’instar de Le Bon Coin ou BlaBlaCar.
À cela s’ajoute les traditionnels performeurs du classement Great Place to Work que sont les filiales françaises de certaines grandes multinationales: General Mills France parvient ainsi à la 10e place, Procter & Gamble France, McDonald’s France et Mars France améliorent leur score et se classent 8e, 4e et 2e respectivement, tandis que Pepsico France rétrograde, mais si hisse tout de même à la 3e place.
À l’occasion de cette édition 2014, 166 entreprises, pour un total de 21 342 salariés, ont répondu au questionnaire de l’institut Great Place to Work. Un nombre relativement important quand on sait que pour auditer une entreprise, l’institut réclame un minimum de 4 900 euros. Mais le jeu en vaut la chandelle. Car les entreprises qui voient leurs efforts positivement sanctionnés par une apparition dans le classement peuvent ensuite s’en prévaloir gratuitement pendant deux ans. De quoi lustrer avantageusement une marque employeur et susciter quelques vocations !
Dans son Davidson Code, Davidson Consulting présente en toutes lettres sa philosophie d’entreprise : équilibre entre vie privée et vie professionnelle, évènements de team building programmés sur une base régulière, équipes de travail resserrées, mise à disposition de crèches d’entreprise. En contrepartie de ces avantages qui fidélisent les collaborateurs, l’entreprise attend d’eux l’excellence. Une exigence qui ne rebute pas. Bien au contraire, puisque le turn-over de l’entreprise se situe au niveau plancher de 5 % et que la plupart des embauches du cabinet sont réalisées par cooptation.
Bien d’autres entreprises françaises sont parvenues à obtenir une place honorable dans le classement. Elles sont 35 en en tout sur une soixantaine. Parmi elles, Extia, Leroy Merlin, Decathlon, Iliad se sont hissées dans le top 20 des entreprises de plus de 500 salariés. De côté des entreprises de moins de 500 salariés figurent par ailleurs de nombreuses sociétés françaises récemment mises sur pied à l’instar de Le Bon Coin ou BlaBlaCar.
À cela s’ajoute les traditionnels performeurs du classement Great Place to Work que sont les filiales françaises de certaines grandes multinationales: General Mills France parvient ainsi à la 10e place, Procter & Gamble France, McDonald’s France et Mars France améliorent leur score et se classent 8e, 4e et 2e respectivement, tandis que Pepsico France rétrograde, mais si hisse tout de même à la 3e place.
À l’occasion de cette édition 2014, 166 entreprises, pour un total de 21 342 salariés, ont répondu au questionnaire de l’institut Great Place to Work. Un nombre relativement important quand on sait que pour auditer une entreprise, l’institut réclame un minimum de 4 900 euros. Mais le jeu en vaut la chandelle. Car les entreprises qui voient leurs efforts positivement sanctionnés par une apparition dans le classement peuvent ensuite s’en prévaloir gratuitement pendant deux ans. De quoi lustrer avantageusement une marque employeur et susciter quelques vocations !
