L'UNESCO a appelé à la plus grande vigilance "après avoir été saisie de nombreux signalements d'escroquerie et de trafic illicite de biens culturels en provenance d'Afrique, réalisés sous le couvert de faux documents, en vertu desquels l'agence onusienne autoriserait ce commerce et certifierait même la valeur de collections", assure-t-elle dans un communiqué.